Lors de sa nomination en janvier 2010 comme archevêque de Malines-Bruxelles et grand chancelier de l’Université Catholique de Louvain (UCL), Monseigneur André-Joseph Léonard s’était exprimé sur l’avortement.

Une parole prophétique qui devrait éclairer l’affaire du Professeur Stéphane Mercier qui, en mars 2017, agite le Royaume de Belgique. Il a été suspendu de son cours pour un texte et un débat abordant de front la question de l’enfant avorté, comme être humain mis à mort.

Très attaqué par les médias belges, caricaturé et vilipendé, Monseigneur Léonard présentait sur la RTBF, dans cette émission « J’ai une question @ vous poser », la foi catholique sur cette question.

A la fin de l’émission, les Belges furent conquis par sa foi, la précision de ses explications.
Et pour une rare fois, un archevêque catholique donnait la raison de la gravité de l’acte d’avortement : « L’enfant vit. Il accueillera sa mère, pour se réconcilier avec elle, de l’autre côté de cette vie. »