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Marthe Robin parle des suicidés et du purgatoire (1902-1981) (45 mn)
Le suicide de son frère Henri, homme discret, alcoolique et très angoissé, souffrant de terribles névralgies faciales. Marthe obtient du Seigneur la confirmation qu’il est sauvé. Les enseignements explicites de Marthe Robin sur le passage de la mort, sur l’apparition du Christ et la conversion de beaucoup.

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Par Arnaud Dumouch, 2012-2018.

– La vénérable Marthe Robin et la mort comme « passage, durable, où il se passe des choses » (décédée en 1981)

Il nous paraît possible de citer Marthe Robin. Cette mystique stigmatisée, dont la sainteté est à l’étude dans son diocèse d’origine, est morte en 1983. Après vérification auprès du Père Pagnoux des Foyers de charité, il apparaît qu’elle a développé une véritable pensée sur les agonisants. Sans aller trop loin et dans l’attente des textes non encore publiés, il semble qu’elle considérait la mort comme le passage ultime où se joue dans la logique d’une vie le destin éternel. Elle parlait de l’importance de la prière pour les mourants, de ces instants qui pouvaient durer longtemps, et de la grâce ultime donne par Jésus en personne.

Philippe Coutel (philippecoutel@msn.com) qui assistait à une retraite des Foyers de Charité, rapporte : « Le 31 oct. 1979, vers 17h, deux cousines, un cousin et un de leurs amis, dans la baie de Quiberon, ont voulu faire une dernier tour de bateau avant de mettre celui-ci en cale-sêche pour l’hiver. Ils avaient 18-19ans. Brusquement alors qu’ils étaient dans la rade, une très violente tempête s’est levée d’un coup. Le voilier a été sur le champs absorbé par les flots, et ils sont morts noyés. Quelques semaines plus tard, je suis allé voir Marthe Robin pour savoir ce qu’il était advenu d’eux quant à leur éternité, car aucun d’eux n’étaient pratiquants; Avec même une vie moralement plus ou moins dissolue, comme il est d’usage en Occident. J’étais donc un peu inquiet pour eux. Mais le père spirituel de Marthe, le père Finet à du nez. Et sans même être au courant de mon affaire il a sorti aux retraitants : « Surtout n’allez pas demander à Marthe si vos proches qui sont morts sont sauvés. Et si elle vous disait qu’ils sont en enfer « ? Fort de cette recommandation je n’ai rien demandé à Marthe; Mais la question me brûlait les lèvres. C’est elle-même qui va rompre le silence, d’une manière détournée. Tout en respectant la consigne du père Finet, elle a demandé au père qui nous prêchait la retraite de nous dire :  » Et……Marthe Robin m’a fait savoir, que quand des jeunes qui ne pratiquaient pas, meurent dans l’ignorance de Jésus, il va se passer plusieurs heures avant le jugement définitif; Et même plusieurs jours, où le Seigneur va se montrer à eux dans toute sa lumière; Et va leur demander: VEUX-TU DE MON AMOUR ? Et en général, les jeunes disent OUI ».